Coincé à l'arrière d'un bistro, le Laurenzo va prendre gros. Entre le patron trentenaire, viril et fier de son gros morceau et un des clients en manque de sodo, il ne va plus savoir où donner de la tête et du cul. Assis sur l'un pendant qu'il suce l'autre, retourné dans tous les sens avec des centimètres autour de lui à en perdre la tête, c'est toute la chaleur de l'Amérique du sud qui le fera crier de joie : un, dos, tres j'écarte mes fesses !